C’est par le biais de mon employeur que j’ai découvert le congé solidaire, en l’occurrence pour moi, la possibilité d’être utile pendant 2 semaines de mes congés pour aider une association dans un pays en développement, en partenariat avec Planète urgence.
A l’annonce de cette opportunité, aucun doute, même pas un moment d’indécision, bien sûr que j’allais postuler !
J’aurais pu penser aux congés que je prenais égoïstement en solitaire et non en famille, au coût (certes en partie déductible des impôts), à une absence de 15 jours alors que je n’ai quitté mes enfants qu’une semaine en 10 ans, à la situation politique ou sanitaire, au risque d’isolement ou au contraire de promiscuité, à la peur de l’inconnu….
J’ai bien évidemment pesé tout ça mais j’ai évacué très rapidement les questions, et posé ma candidature. L’envie a été la plus forte, c’était une occasion unique à ne pas manquer.
Pour un premier séjour, j’ai soigneusement choisi ma mission, en m’interrogeant sur mes capacités, sur mes envies, en me documentant le plus possible et en regardant les critères suivants :
– le domaine : la protection de la biodiversité, car c’est un sujet qui me tient à cœur et je souhaitais apporter mon aide à une mission de protection, de sauvegarde ou d’étude de la faune.
– le pays : loin des zones à risques d’Ebola, et loin du terrorisme, le champ des possibles se réduisait considérablement, même si l’association n’envoie pas de volontaires dans des pays en crise.
– les conditions de séjour : avec plusieurs autres volontaires, dans une situation de « confort ». J’adore le camping, mais je ne pense pas pouvoir supporter des conditions trop spartiates en termes d’hygiène, surtout dans des conditions climatiques difficiles. Je n’ai pas osé non plus une mission de formation (qui aurait été possible dans mon domaine et me tentait aussi) car je n’étais pas sûre d’être en capacité d’assurer, seule dans un environnement inconnu, la transmission de savoirs pendant 15 jours.
– les conditions physiques requises : j’ai préféré une mission sans trop de marche, car si j’aime ça, marcher pendant des heures sous 40° ou avec un fort dénivelé est au-dessus de mes capacités !
– la période : en saison sèche car les moustiques m’adorent ! Et moi beaucoup moins toutes ces petites bestioles…
– la langue : un pays anglophone me tentait bien, pour me remettre dans le bain.
Après avoir passé plusieurs entretiens pour montrer ma motivation, ma candidature a finalement été retenue…
J’attend la suite….
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Le teaser était bon alors !
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oui mais il m’a fallu un dicco pour déchiffrer le vocabulaire blogueuse…..
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Quel vocabulaire ? Teaser ? Désolée..
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Je ne connais pas du tout ce dispositif ! Vivement la suite !
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Je l’ai découvert grâce à mon employeur, mais tout un chacun peut s’inscrire.
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[…] on part en congé solidaire, on étudie bien évidemment avec attention le détail de la mission, les activités susceptibles […]
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[…] je savais dans l’ensemble où je mettais les pieds, ce congé solidaire était une première expérience pour moi, tout comme la découverte de l’Afrique australe. […]
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[…] en congé solidaire ? La question ne se pose même pas… Si j’en ai l’occasion (car il faut quand même du temps […]
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[…] n’allais pas au Zimbabwe avec l’idée de ramener des souvenirs. Néanmoins, ce séjour était long pour mes enfants, et […]
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[…] comme j’aimerais repartir en congé solidaire, en Afrique ou ailleurs […]
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[…] Cette bande dessinée m’a vraiment plu. J’ai aimé les dessins, l’histoire de ces naufragés et j’ai été très touchée par les émotions du dessinateur et des autres membres de l’équipe scientifique, entre solitude, excitation de la découverte, des sentiments qui m’ont rappelés ceux que j’ai éprouvés lors de mon congé solidaire… […]
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